À propos

Des vertus, on ne parle plus guère. Cela ne signifie pas que nous n'en ayons plus besoin, ni ne nous autorise à y renoncer. Mieux vaut enseigner les vertus, disait Spinoza, que condamner les vices : mieux vaut la joie que la tristesse, mieux vaut l'admiration que le mépris, mieux vaut l'exemple que la honte.  De la politesse à l'amour, dix-huit chapitres sur les vertus, celles qui nous manquent parfois, celles qui nous éclairent. Il ne s'agit pas de donner des leçons de morale, mais d'aider chacun à devenir son propre maître et son unique juge. Il n'y a pas de bien en soi : le bien n'existe pas, il est à faire et c'est ce qu'on appelle les vertus.


Rayons : Sciences humaines & sociales > Philosophie


  • Auteur(s)

    André Comte-Sponville

  • Éditeur

    PUF

  • Distributeur

    Flammarion

  • Date de parution

    08/07/2014

  • Collection

    Perspectives critiques

  • EAN

    9782130636915

  • Disponibilité

    Disponible

  • Nombre de pages

    392 Pages

  • Action copier/coller

    Dans le cadre de la copie privée

  • Action imprimer

    Dans le cadre de la copie privée

  • Poids

    2 283 Ko

  • Diffuseur

    Flammarion

  • Entrepôt

    Eden Livres

  • Support principal

    ebook (ePub)

  • Version ePub

    2.0.1

Navigation

Table des matières adaptable Un sommaire est présent dans le contenu du livre, ce qui permet de l'utiliser avec un affichage adapté.

André Comte-Sponville

Philosophe et enseignant français, né en 1952, André Comte-Sponville est l'auteur de nombreux ouvrages qui, par leur clarté et leur pédagogie, mettent la philosophie à la portée de tous. Philosophe humaniste, il a remis la recherche de la sagesse au goût du jour et a écrit sur beaucoup des thèmes classiques traités par les philosophes antiques ou des siècles passés, y compris sur la philosophie politique. Dans la "Sagesse des modernes", ouvrage co-signé avec Luc Ferry, les deux philosophes confrontent leurs visions respectives sur des thèmes fondamentaux comme la quête de sens, la liberté, la sagesse... André Comte-Sponville a eu la foi jusqu'à 18 ans : "L'une des rares choses dont je suis sûr en ce domaine, c'est que Dieu ne m'a jamais rien dit". Il se définit comme un athée fidèle car il se reconnaît dans une certaine tradition et histoire des valeurs gréco-judéo-chrétiennes. Il pense que l'homme peut se passer de religion, la philosophie en étant l'un des moyens.

empty