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Myriam H.
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Qui est à l'abri de la folie ? Qui peut se prétendre de l'être ? Surtout, depuis sa plus tendre enfance. Comme celle d'un petit garçon qui joue au cerceau, à la tombée de la nuit, entre les tombes d'un cimetière, un petit sac à dos à tête de nounours sur son épaule.
Un homme aussi génial que machiavélique, sous prétextes de glorifier son nom et s'approprier toujours plus de richesse, commet des actes abominables sur ses contemporains.
Les Inspecteurs Giocomo Ginali et Anigal Desperate (*), toute nouvelle recrue, sont chargés d'enquêter, de trouver et d'appréhender cet homme,... Trente ans après !
(*) Cf. "Killing stilettoz" - "Oh!Rorscope" - "La beauté intérieure" -
Sur l'auteur : Dans la même veine que « Le petit chapeau rond rouge : une petite claque sur les fesses des gros contes », l'auteur nous embarque et débarque... avec ses gros sabots habituels (mais les sabots redeviennent tendances à la saison printemps/été 2021) !
Avant-propos :
Merci, ah, merci, d'avoir publié ce manuel (*) ! Même s'il parait que c'est un « Hoax » (entendez, un canular !), on s'en fout !
Oui, peu importe ! La vie de nos Mères, pour ceux et celles qui sont nés dans les années 50 / 60, n'en était pas si éloignée. Finalement !
Evidemment, il ne s'agit pas d'un constat misogyne ou d'un appel à un quelconque endoctrinement féministe, chacun fait et croit ce qu'il veut, c'est juste la réponse de la bergère au berger, puisqu'il faut garder les moutons.
Et, dans des moments de froid entre couples, quels qu'ils soient, nous avons probablement déjà eu, toutes, tous, au moins, une fois, une parcelle des pensées qui vont suivre.
L'auteur n'est ni féministe ni anti-féministe, et n'a rien contre les hommes, qu'elle considère, quand ils le méritent, avec tendresse, bienveillance, même si le respect, ici, est resté, pour un temps, sur le porte-manteau de l'entrée.
Et les femmes ont bien le droit de se détendre après leur dure journée de travaux (oui, parfaitement, au pluriel).
(*) D'après et inspiré par l'extrait d'un texte présenté sur le web, « Économie familiale 1960 », Hélène Jobin, le 14 septembre 2005 à 06:16, Livres #44 :: rss - « Petit manuel scolaire catholique d'économie domestique » pour les femmes du Québec, publié en 1960. -
L'histoire que je vais vous raconter, ici, est une pure fiction.*
Après l'histoire authentique, « Et, si... ou les voiles du destin - Récit d'une histoire vraie avec un acteur », on se projette dix-sept ans plus tard.
Après les Almadies, après les vaines tentatives de recherches d'Alessandro, après le rebondissement de l'appel téléphonique de Mya en Italie, lequel n'avait pas été suivi d'effets, ni d'un côté ni de l'autre.
Personne ne doit s'interdire de rêver et Mya va rêver. Elle va rêver à ce qu'il aurait pu se passer si...
*Même si vous avez trouvé la réponse sur l'identité de mon héros, dans la première partie, le nom des personnages est toujours modifié.
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Sur l'humeur de l'auteur & Pitch : Ne nous leurrons plus ! Démystifions ! L'auteur, dans ses choix de sujets hétéroclites, à nouveau, dans ce qui se veut être de l'humour et de l'irrévérence, embarque ici ses lecteurs dans un univers déjanté où les contes sont dégommés... gentiment. Même si on lui en a lus durant son enfance. Tout le monde a le droit de grandir. Ou pas ! A vous de voir, si vous trouvez ça débile. Sinon, cachez-vous les yeux !
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Pitch : L'inspecteur Anigal Desperate, alias Desp, reprend du service avec un nouveau venu. Des vagues de meurtres au summum de l'horreur, aux portes de la folie et de l'Enfer, sont perpétrés en ville. Les méthodes utilisées sont toutes liées aux signes zodiacaux. Si vous achetez le journal aujourd'hui, ne lisez pas votre Oh!Rorscope. Ca pourrait vous porter malheur !
Sur l'auteur : Influencé par les univers d'Edgar Poe et de Stephen King (pour l'histoire), de Quentin Tarantino (pour l'image), de Frédéric Dard, alias San Antonio, et de Michel Audiard (pour les dialogues), de Coluche (pour l'irrévérence), de Pierre Desproges et d'Alexandre Astier (pour le rythme) ; pour ce nouvel ouvrage, l'humour, le langage trash et cash sont toujours au rendez-vous. Vous aussi ?
Avertissement : L'auteur décline toute responsabilité quant à l'utilisation des méthodes, idées, suggestions et moyens ci-dessous décrits et, qui seraient utilisés dans la réalité de façon malveillante. Il s'agit, ici, d'une pure fiction où aucun être humain, aucun animal, aucun légume, aucun portable, n'a été molesté, torturé, tué, ou perdu dans quelque endroit que ce soit, dans la vraie vie. Merci !
Dans la même veine : "Killing stilettoz", "La beauté intérieure", "Horror carnival". -
Suite d'AnimalZ
Pitch : Ambrosia Dolce a été internée pendant près de dix ans à l'Asylum d'Hallutah. Zak, l'homme qui a assassiné toute sa famille, ses amis, ses animaux, qui a détruit sa vie, s'est volatilisé.
Amby va le rechercher, le traquer, le trouver. Et se venger. A la façon des rituels des Amérindiens d'antan.
Elle croisera sur sa route des personnages qui l'aideront dans sa quête.
Zak sera-t-il au rendez-vous ? -
Pitch : Georgette, sexagénaire, s'octroie deux semaines de vacances dans un logde au milieu des bois en forêt nacadienne avec quatre inconnus : un couple d'américains et deux femmes belges, la mère et la fille.
Site superbe, chalet au bord d'un lac. Calme et sérénité ? Et, ces colocataires qui ne sont toujours pas là. Que se passe-t-il ?
C'est ce que va découvrir Georgette, au comble de l'horreur, dans cet enfer paradisiaque.
Sur l'auteur : Influencé par les univers d'Edgar Poe et de Stephen King (pour l'histoire), de Quentin Tarantino (pour l'image), de Frédéric Dard, alias San Antonio, et de Michel Audiard (pour les dialogues), de Coluche (pour l'irrévérence), de Pierre Desproges et d'Alexandre Astier (pour le rythme) ; pour son tout premier ouvrage, dans un langage cash et trash et un bain d'humour à froid, l'auteur vous emmène en promenade, dans les bois, à travers les méandres des âmes humaines. Bonnes ou mauvaises ? Faut voir !
Avertissement : L'auteur décline toute responsabilité quant à l'utilisation des méthodes, idées, suggestions et moyens ci-dessous décrits et, qui seraient utilisés dans la réalité de façon malveillante. Il s'agit, ici, d'une pure fiction où aucun être humain, aucun animal, aucune scolopendre, n'a été molesté, torturé, tué, dans la vraie vie.
*Cet e-ouvrage est suivi de "Octogénocide" -
Pitch : Accompagnée de ses acolytes de Green Lake Lodge (cf. « La peau des scolopendres »), Georgette aura pour mission de retrouver ceux qui déciment, un par un, les octogénaires de son quartier, de son pays, d'autres nations.
La bande des « Fées des Bois » sera chargée par Monsieur Harold de savoir pourquoi et comment. Et de secourir les victimes, ainsi que de récupérer la liste des commanditaires pour éradiquer ce nid de cafards.
Sur l'auteur : Influencé par les univers d'Edgar Poe et de Stephen King (pour l'histoire), de Quentin Tarantino (pour l'image), de Frédéric Dard, alias San Antonio, et de Michel Audiard (pour les dialogues), de Coluche (pour l'irrévérence), de Pierre Desproges et d'Alexandre Astier (pour le rythme),
Et, à l'instar de son tout premier ouvrage, l'auteur poursuit, sur le même ton, dans un langage cash et trash, sans langue de bois, et un bain d'humour à froid.
Ici, il pointe du doigt la condition de nos anciens dans la société actuelle sur fond de retraites en question(s).
NB : Cet ouvrage a été écrit et mis en ligne bien avant la pandémie Covid. -
Pitch : Une jeune femme voit ses proches et ses familiers se faire assassiner depuis qu'elle s'est fait tatouer un visage d'homme sur le sternum. Voyage au pays du cauchemar ? Ou, cause à effet dans la réalité ? C'est toute la question de ce thriller qui donnera la réponse. Ou pas.
Dans cet ouvrage, dans un langage cash et trash, l'auteur vous fait traverser un pont, en équilibre, sur deux cordes raides. Celle de la folie et celle de la réalité.
Regardez bien où vous marchez, le précipice est juste... en dessoooooooous !
Sur l'auteur : L'auteur reste fermement ancré à l'influence des univers d'Edgar Poe & de Stephen King (pour l'histoire), de Quentin Tarantino (pour l'image), de Frédéric Dard, alias San Antonio, et de Michel Audiard (pour les dialogues), de Coluche (pour l'irrévérence), de Pierre Desproges et d'Alexandre Astier (pour le rythme).
Avertissement : L'auteur décline toute responsabilité quant à l'utilisation des méthodes, idées, suggestions et moyens ci-dessous décrits et, qui seraient utilisés dans la réalité de façon malveillante. Il s'agit, ici, d'une pure fiction où aucun être humain, aucun animal, aucune salade, n'a été molesté, torturé, tué, dans la vraie vie.
*Cet e-ouvrage est suivi de AnimalZ, Indian Revenge : désert, motos, broncos, crotales et vengeance ! -
Le voyage initiatique et philosophique d'une jeune femme qui surfe sur la vague d'un long rêve multicolore dans un pays imaginaire pour retrouver les âmes d'êtres chers.
Dans ce monde où tout est blanc, les personnages qu'elle croisera sur sa route, lui donneront la force de se battre pour eux et pour elle. Mais, sa quête sera-t-elle couronnée de succès ?
L'auteur, dans ses choix de sujets hétéroclites, embarque, ici, ses lecteurs dans un univers onirique. Tantôt, monochrome, tantôt, coloré. Comme l'humeur de l'auteur,... en fonction de ses rêves ! -
Pitch : Des chaussures dans un placard de chambre. Quoi de plus banal. Seulement, quand ces chaussures décident de ne pas se laisser marcher sur les pieds et passent à l'acte, ça fait mal ! De quoi prendre ses jambes à son cou ! Bonne promenade ! Mais, prenez quand même du change, vous risquez des « corps » aux pieds.
Sur l'auteur : Influencé par les univers d'Edgar Poe et de Stephen King (pour l'histoire), de Quentin Tarantino (pour l'image), de Frédéric Dard, alias San Antonio, et de Michel Audiard (pour les dialogues), de Coluche (pour l'irrévérence), de Pierre Desproges et d'Alexandre Astier (pour le rythme), l'auteur aime embarquer ses lecteurs dans un monde poétique, déjanté, assez cash et trash, mais avec, espère-t-il, des pointes d'humour comme les petits chapeaux sur les î, et des jeux de mots à tiroir.
Attention de ne pas vous y coincer les doigts, d'ailleurs, vous ne pourriez plus tourner les (e)-pages ! Bonne lecture, bien au chaud, dans vos charentaises !
Avertissement : L'auteur décline toute responsabilité quant à l'utilisation des méthodes, idées, suggestions et moyens ci-dessous décrits et, qui seraient utilisés dans la réalité de façon malveillante. Il s'agit, ici, d'une pure fiction où aucun être humain, aucun animal, aucune botte, en caoutchouc ou pas, aucun hotdog végétarien, n'a été molesté, torturé, tué, ou coincé dans une plaque d'égouts, dans la vraie vie. Merci ! -
Et, si... ou les voiles du destin - 1
Myriam H.
- La plume éphémère Editions
- 26 Mars 2020
- 9782957170159
L'histoire que je vais vous raconter est authentique. Le nom des personnages a été modifié, mais les lieux, les dates et les événements sont bien réels.
Parfois, on se demande. Et, si... On s'imagine entrer dans une pièce toute blanche avec une multitude de voiles bercés par une brise d'été s'engouffrant par des baies vitrées ensoleillées. On soulève ces voiles un par un.
Parfois, on découvre quelque chose. Parfois, on ne découvre rien. Parfois, on découvre une jeune femme toute simple qui, sans savoir de qui il s'agit, va rencontrer une personnalité. Il sera facile de trouver son identité lors du déroulement de l'histoire.
Cette histoire vécue sera suivie d'une fiction, cette fois, qui reprend ce qui aurait pu se passer, si... « ET, SI...DIX-SEPT ANS APRES » -
Qui a dit qu'on ne pouvait plus trouver l'amour à soixante ans passés ?
Et, comment une sexagénaire se retrouve dans une histoire sentimentale avec une personnalité de série télévisée américaine sur un seul échange de courriers ?
Peut-on tomber amoureux de quelqu'un, par le biais d'une correspondance ?
Qui gagnera « ses lettres de noblesse sentimentale », dans cette histoire improbable ?
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Pitch : Une jeune femme. Trois salopards. Une armée de singes de laboratoire. Et... Dix jours de vacances sur une île paradisiaque. Qui n'en rêverait pas ? Si vous décidez de partir seul(e) sur une île lointaine, réfléchissez bien... avant ! Dans les îles, il y a le Mal, mais aussi son remède.
« LE MAL: NE PAS LE VOIR, NE PAS L'ENTENDRE, NE PAS LE DIRE. POUR CELUI QUI SUIVRA CETTE MAXIME, IL N'ARRIVERA QUE DU BIEN. »
Sur l'auteur : Influencé par les univers d'Edgar Poe et de Stephen King (pour l'histoire), de Quentin Tarantino (pour l'image), de Frédéric Dard, alias San Antonio, et de Michel Audiard (pour les dialogues), de Coluche (pour l'irrévérence), de Pierre Desproges et d'Alexandre Astier (pour le rythme) ; pour cet ouvrage, dans un langage cash et trash et un bain d'humour à froid, l'auteur vous offre des vacances sur une île où la montagne a des yeux, les arbres, des oreilles, et les cascades, des voix.
Avertissement : L'auteur décline toute responsabilité quant à l'utilisation des méthodes, idées, suggestions et moyens ci-dessous décrits et, qui seraient utilisés dans la réalité de façon malveillante. Il s'agit, ici, d'une pure fiction où aucun être humain, aucun animal, aucun coquillage, n'a été molesté, torturé, tué, dans la vraie vie. -
Pitch : L'inspecteur Anigal Desperate, alias Desp, devenue commissaire, s'en refait une petite*, avec Aimo Globine, sa copine, Peegy, Irma et l'inspecteur Patpat.
Depuis que des corps sont retrouvés dans la ville de Green City, proprement éviscérés, tout le monde est sur les dents. Miam ! Miam !
C'est une véritable héca... tombe ! Mais, on ne dépose ni fleurs ni couronnes sur ce genre de stèle.
*Après "Killing stilettoz", "Oh!Rorscope", "Horror carnival" -
PITCH :
Conte philosophique. Initiatique ? Parabole sur une histoire vécue ? La course éperdue d'un chasseur à la poursuite d'une louve. Ou celle d'une louve après un chasseur. Pour le meilleur ? Pour le pire ? Qui est le chasseur ? Qui est la louve ? Du chasseur ou de la louve, qu'y aura-t-il à gagner, en fin de course, pour autant qu'il y ait quelque chose à gagner... ou à perdre ?
SUR L'AUTEUR :
Armée de sa marque éditoriale, La plume éphémère Editions, l'auteur se lance dans une dédicace à un « ami virtuel, probablement plus imaginaire qu'éphémère », avec lequel elle a partagé des bribes d'instants. Sans importance. Sans lendemain. Sans même s'être jamais vus. Sans autre intérêt que deux âmes qui cherchent ou recherchent, pour tenter de se retrouver au hasard d'un fichier. Elle ne le reconnut pas. Lui non plus.
Sans doute, un être d'exception, vivant, tapi, derrière les fantômes de ses placards, et ceux de son passé, de son présent, de son avenir. Noyé dans sa mémoire, ses mémoires. Sans en sortir. Un jour, peut-être. Ou pas. Mais, cela, elle ne le saura jamais. Lui non plus.
L'ironie, ici, cruelle et perfide, est que s'il l'avait reconnue, il serait enfin devenu un homme heureux. -
Il y a des années, j'ai croisé, dans la rue, près de chez moi, un jeune homme dont le visage n'existait plus. Probablement brûlé par le feu ou une substance combustionnelle.
A l'instar de celui de « Celui dont on ne doit pas prononcer le nom », dans cette célèbre saga littéraire et cinématographique, il ne restait, sur ce visage, que des orifices pour les yeux, les narines et la bouche. Voir, respirer, se nourrir et s'exprimer.
Une jeune femme qui pouvait être sa femme, sa soeur, son amie, marchait à dix pas devant... A aucun moment, elle ne s'est retournée vers lui. Ne lui a pris la main. N'était à ses côtés.
Il lui parlait, mais il était seul. Elle lui répondait, sans se retourner. Elle semblait l'être tout autant.
J'ai trouvé cela scandaleux, terrible et d'une tristesse insoutenable. Pour tous les deux.
C'est en pensant à ce jeune homme que j'ai écrit ce qui suit... Un bien maigre hommage à celui qui n'a pas eu de chance et dont j'aurais aimé pouvoir prononcer le nom. -
S'il vous plaît, Garçon, un café, l'addition !
Myriam H.
- La plume éphémère Editions
- 3 Août 2020
- 9782491926076
EXTRAIT "O avait du caractère, mais aurait pu être un ange. Un ange avec du caractère. Mais cet ange-là ne s'était jamais soumis, n'avait jamais rampé, même si certains avaient tenté, par le passé, de l'assouvir, de l'asservir, de la plaquer au sol, de la salir. Elle s'était toujours arrangée pour que la hauteur de son ciel lui permette de toujours se relever et rester debout.
Et, O avait quelques gouttes de sang italien aussi, qui courait dans ses veines. Ses ancêtres toscans. Là, où poussent les plus beaux oliviers d'Italie. Et, les champs de lavande.
O était cash. O était sans filtre. Sans tourner sept fois la langue dans sa bouche ou dans celle de qui que ce soit d'autre, elle disait les choses. Un peu trop. Un peu vite. Un peu trop vite. Sans forcément penser que les interlocuteurs, qui lui faisaient face, étaient peut-être sourds, ou pas, et si, pas, avaient envie de le rester. Ou pas. Ou étaient incapables de lire sur ses lèvres. Même entrouvertes, surtout entrouvertes."
...
"O s'était donc exprimée. O ne s'était pas empêchée de. O avait fait l'erreur de. O ne changerait donc jamais ? On ne peut pas être à fleur de peau, à fleur de vie, à fleur de coeur, et ne pas faire d'erreur, c'est impossible. Surtout, pour une artiste. Et, encore moins, pour un ange. Les anges ne sont pas infaillibles, de même que les Hommes.
O s'était donc exprimée. O ne s'était pas empêchée de. O avait fait l'erreur de. O ne changerait donc jamais ? On ne peut pas être à fleur de peau, à fleur de vie, à fleur de coeur, et ne pas faire d'erreur, c'est impossible. Surtout, pour une artiste. Et, encore moins, pour un ange. Les anges ne sont pas infaillibles, de même que les Hommes." -
POEMES EROTIQUES ET TEXTES DE CHANSONS
COMPOSITIONS D'APRES UNE HISTOIRE VRAIE... L'AMOUR ? DU DEBUT JUSQU'A LA FIN !