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OXYMORON Éditions
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La célèbre espionne Thérèse ARNAUD et ses hommes sont envoyés à Vienne, en Autriche, pour mettre la main sur les plans d'un canon de 88 mm, bien plus puissant que ceux des forces alliées.
Mais ces fameux documents sont aux mains de l'agent autrichien la « Vipère Jaune », ayant pour mission de les faire passer en Turquie où les usines de guerre sont chargées de la construction intensive de l'arme.
S'engage alors un duel à distance entre les deux femmes, un duel qui pourrait désigner le vainqueur du conflit.
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De la villa « Les Roses », un individu s'est échappé, décharné, égaré, désordonné, aliéné...
Friquet, membre du 2e bureau, accompagne le commissaire Martel sur place.
Alors que le policier fouille les lieux, le barbouze découvre une enveloppe sur laquelle il décrypte l'inscription « AF 65 », des initiales désignant les agents du service d'espionnage allemand.
Son intuition est bonne puisque, après un passage sous réactif, l'encre sympathique révèle l'adresse de Karl Himmelfeld, l'ennemi juré de sa patronne, l'intrépide espionne Thérèse ARNAUD.
La jeune femme décide de fureter dans la maison pendant que ses hommes surveillent les alentours.
Malgré toutes ses précautions, Thérèse ARNAUD va constater que « sa némésis » lui a réservé de dangereuses surprises...
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Septembre 1914 - L'agent C. 25 est chargé, par l'état-major de l'armée française, d'infiltrer les lignes allemandes afin de rendre compte de l'importance des forces ennemies, des troupes et des munitions ainsi que de noter les éventuels déplacements de soldats.
La mission est périlleuse et son succès est capital.
Mais l'agent C. 25, outre son courage et sa détermination, possède un avantage considérable, celui de passer inaperçu et d'être souvent sous-estimé, parfois, même, par les hommes de son propre camp, car sa véritable identité est Thérèse ARNAUD, une jeune femme qui risque sa vie pour sa patrie.
Aidée de ses deux meilleurs camarades, Malabar et Languille, et appuyée par un lieutenant intrépide et audacieux, cette « brave petite » va tout faire pour atteindre ses objectifs et porter un coup dévastateur à l'adversaire...
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La guerre ! Le métro ! Un malaise, un homme s'écroule... sans vie. Une personne s'approche du corps, sous le regard incrédule de la foule, le fouille discrètement et s'enfuit...
Dans son quartier général, entourée de ses collaborateurs, Thérèse ARNAUD, l'agent C. 25 du 2è bureau, enrage. Les documents récupérés sur le mort de la station « Châtelet » sont en partie codés et indéchiffrables. Seule piste, une accréditation auprès d'un dénommé Jean Durand.
Pour trouver la clé de codage, l'unique solution pour la jeune femme, est de se mettre au service du fameux Durand qui n'est autre que Karl Himmelfeld, le chef d'une organisation d'espionnage allemand.
Thérèse ARNAUD va apprendre, à ses dépens, le vrai sens de l'expression : « Se jeter dans la gueule du loup ».
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Dans Paris, un policier assiste à un drôle de spectacle : une personne traverse la rue, une voiture d'où jaillit une lumière verte rugit, un choc, un cri, deux individus qui sautent du véhicule et disparaissent à l'intérieur, l'engin qui démarre en trombe et puis... rien ! Pas de corps ! Un mirage ?
Thérèse ARNAUD, la plus intrépide des agents du 2e Bureau, soupçonne que cette affaire porte la griffe des services secrets allemands et positionne ses hommes aux abords du lieu de la disparition.
Très vite, l'un d'eux constate que le soupirail d'un immeuble semble servir de « boîte à lettres » à de curieux énergumènes. Dès lors, le doute n'est plus permis, l'ennemi oeuvre dans l'ombre. Mais, l'en déloger va s'avérer ardu et dangereux.
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Karl Himmelfeld, chef d'une organisation d'espionnage allemand, cherche à se venger de Thérèse ARNAUD, agent du 2e bureau, qui s'est jouée de lui par le passé.
Ses supérieurs lui commandant de capturer la jeune femme, le Teuton réprime ses envies de meurtre et fait enlever Languille, un des hommes de Thérèse ARNAUD afin d'attirer cette dernière dans un piège.
Si l'espionne avait appris le sens de l'expression « Se jeter dans la gueule du loup » lors de sa précédente confrontation avec son ennemi, elle va désormais constater que « La vengeance est un plat qui se mange froid »...